Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN ART : test et avis terrain

par Nadia et Benoit
Publié : Mis à jour :

Pour nos voyages, avec nos Lumix S, un zoom ultra grand angle est toujours dans notre sac. Il n’est pas question de manquer de recul au moment de déclencher. L’ultra grand angle est donc un indispensable pour nos photos de paysages, que ce soit en pleine nature ou en ville pour de la photo d’architecture. C’est pourquoi nous avons acheté le Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art en monture L. Car dans cette monture, voici l’objectif qui permet d’avoir le plus de recul possible en démarrant à 14 mm. Plus accessible financièrement que les Panasonic ou encore les Sony pour la monture FE, son ouverture de f2.8 est intéressante pour la basse lumière, notamment. Après plusieurs mois de test terrain, quel est mon avis ? Voici sans plus attendre mon retour d’expérience !

Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art

Prise en main du Sigma 14-24 mm f2.8 DG Dn Art

Avant de commencer par mon retour sur la partie photo et vidéo, commençons par la prise en main. Car ce Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art est un bel objet qui mérite qu’on s’y attarde. Fixé avec un Lumix S1, l’ensemble donne en effet un style robuste qui respire la qualité. Pour la légèreté, on repassera mais en même temps ce n’est pas ce qu’on lui demande.

En effet, on a ici un objectif ultra grand angle au poids assez conséquent. Il faut dire qu’il pèse 795 grammes. Monté sur un Lumix S1, le duo est proche des deux kilos. C’est le prix à payer pour avoir une optique de qualité avec une belle ouverture de f2.8. Nous avons fait beaucoup de randonnée dans les Alpes avec, même avec un enfant dans le dos, on oublie vite son poids tant les images obtenues sont à tomber !

avis Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art

Niveau encombrement, il mesure 131 mm de long, là encore pour la compacité on repassera. Mais quand on aime, on ne compte pas ! Et je peux d’ores et déjà dire que c’est ce Sigma 14-24 mm f2.8 qui nous a fait découvrir et adopter cette marque !

S’agissant d’un objectif « bombé », il n’est pas possible de fixer de filtre à l’avant de la lentille. Néanmoins, il dispose d’un porte filtre à l’arrière pour qui veut fixer des filtres ND, UV, etc. Seul bémol, il n’est pas possible de fixer de filtre protecteur. En randonnée, avec beaucoup de cailloux et un enfant en bas âge, l’absence de filtre protecteur m’a manqué, je dois le dire. J’ai un peu passé mon temps à remettre le cache objectif entre deux photos. Vu le prix de cette belle optique, je suis prudente à outrance !

test terrain Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art
Oui on est plutôt chargés en randonnée…!

Une construction de qualité

Hormis ces considérations de poids et de filtre qui sont vites mises de côté, on a une optique qui offre une prise en main agréable. Comme je le disais plus haut, fixé avec un Lumix S1, l’ensemble respire la qualité et la prise en main est très équilibrée.

Entre la poignée avancée des Lumix S et leur ergonomie équilibrée, on a une prise en main optimale quand on fixe une optique de ce gabarit. Et c’est quelque chose que je trouve agréable. Côté construction, la bague de zoom tourne parfaitement et on passe de 14 mm à 24 mm sans sourciller. Et quand on a un enfant impatient dans le dos, c’est un point important ! Quant à la bague de mise au point manuelle, celle-ci est parfaitement fluide également.

Sigma 14-24 mm f2.8 monture L et Lumix S1

On dispose sur l’optique d’un bouton AF/MF justement pour alterner entre mise au point automatique et manuelle. C’est bien pratique, même si pour ma part, je préfère changer directement sur le boitier. Enfin, il existe un bouton AFL pour définir un raccourci au choix. En toute sincérité, je ne me sers pas de ce genre de bouton ayant déjà tous les raccourcis nécessaires sur mon boitier. Cela reste un plus que nombreux photographes apprécient.

Enfin, il faut savoir que le cache-objectif se fixe par dessus l’optique en raison de la forme bombée de la lentille. Et comparé à d’autres ultra grand angle, ce cache-objectif s’emboite très facilement. Preuve s’il en est de la qualité de construction de cet objectif. D’ailleurs, ce modèle est résistant à la poussière et aux éclaboussures, un point important quand on aime la randonnée en montagne, notamment. Et pour finir, il est fourni avec une housse de protection très qualitative. Bref, on a une véritable optique haut de gamme digne de la gamme Art.

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Quelle compatibilité avec les Lumix S ?

Si vous êtes intéressés par le Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art, il faut savoir qu’il existe en deux montures. Concrètement, il est vendu en monture FE pour les hybrides plein format de chez Sony et peut se fixer dessus sans bague d’adaptation. Il se vend également en monture L pour les hybrides plein format Sigma et Lumix S.

En effet, Leica, Sigma et Panasonic ont une alliance sur la monture L. En conséquence, les objectifs L Mount de chez Sigma sont parfaitement compatibles avec les Lumix S. Il n’y a donc pas besoin de bague d’adaptation et l’autofocus fonctionne bien. D’ailleurs, conquis par cette marque, nous avons maintenant pas mal d’objectifs Sigma à la maison.

Niveau équilibre, que ce soit sur un Lumix S5 ou un Lumix S1, l’avantage du gabarit plus costaud de ces boitiers est qu’ils offrent une prise en main parfaitement équilibrée avec le Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art. Bref, c’est vraiment plaisant de partir en randonnée avec ce beau matériel photo.

Même avec un chargement « spécial » dans le dos, le Lumix S1 offre une prise en main que j’apprécie.

Voilà donc un objectif de qualité. A vrai dire, dès qu’on l’a eu en main, avec ses qualités de construction, cette optique nous a rapidement mis en confiance. Certes son poids peut paraître élevé mais c’est normal sur ce type de zoom ultra grand angle avec une telle ouverture. Et en pratique, la prise en main agréable qu’offre cet objectif nous fait complètement oublier son gabarit. J’ai apprécié le cache-objectif qui glisse facilement. Les bagues tournent bien et sa construction tropicalisé est un vrai plus pour photographier des paysages dans de bonnes conditions. Bref, c’est un objectif que j’adore.

Quelle pratique photo avec le Sigma 14-24 mm f2.8 DG Dn Art ?

L’ultra grand angle, à la base, ce n’est pas mon truc ! Si Benoît adore ce genre d’objectif, moi pas trop. En photo, je préfère une longue plage focale au delà de 70 mm… Alors entre 14 et 24 mm, je me demande toujours ce que je vais bien pouvoir faire avec.

Finalement, je me suis réconciliée avec l’ultra grand angle. En randonnée dans les Alpes, c’est moi qui ait le plus photographié avec. Plus que de le tester, je me suis simplement amusée à capter nos souvenirs en montagne. A essayer de nouveaux cadrage aussi. Et avec un rendu qui m’a bluffé. Mais alors concrètement, qu’est-ce qu’on photographie avec cet ultra grand angle ? Et, est-ce qu’il le fait bien ?

test terrain ultra grand angle monture L pour Lumix S
18 mm – 1/320 – f7.1 – ISO 100
Sigma 14-24 mm f2.8 photo de paysage
24 mm – 1/100 – f2.8 – ISO 100

Une plage focale idéale pour la photographie de paysage

Avec son zoom ultra grand angle allant de 14 mm à 24 mm, on a ici l’objectif idéal pour prendre des photos de paysages dans les meilleures conditions. Pour nos voyages, voilà plusieurs années qu’un ultra grand angle est incontournable.

Car n’avez vous jamais eu envie de dézoomer plus ? Nous si. A l’autre bout du monde, au Canada, au bord du lac Louise, notre boitier fixé avec un zoom débutant à 28 mm… impossible de photographier l’immensité unique de ce lieu. Nous avons été obligés de capturer des petits bouts de cette vaste étendue d’eau. Nous avons été complètement bloqués dans notre pratique photo à cet instant. C’est là qu’un ultra grand angle est un allié du photographe de paysage : il permet de montrer l’immensité d’un endroit. Avec une focale débutant à 14 mm, il est aussi possible d’accentuer la grandeur d’un lieu! Devant un lac, une chaîne de montagne, une immense cascade, en haut d’une falaise…la nature est montrée dans toute sa splendeur ! Et seul un zoom ultra grand angle permet de le faire avec une telle force.

Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art test
15 mm – 1/100 – f13 – ISO 100
ultra grand angle en monture L pour photographie de paysage
14 mm – 1/60 – f13 – ISO 160

Un sens du détail et de la netteté qui sublime les paysages

Avec les qualités optiques du Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art, cela donne des clichés avec un rendu superbe. Cet ultra grand angle permet, non seulement de montrer la splendeur d’un paysage mais le fait avec force. Voilà l’objectif qui m’a fait aimer le grand angle. Les paysages ne sont pas seulement beau, ils sont sublimés ! Pourquoi ? Parce que les images sont d’une grande netteté et aussi très détaillée. Les feuillages, la roche de la montagne, les nuances de lumière qui se reflètent dans l’eau…tout est retranscrit en photo à la perfection ! On peut même apercevoir sur certains clichés Benoît ou notre fils au loin, et là encore ils sont parfaitement nets. Les photos sont simplement magnifiques à l’image du paysage que l’on a voulu immortaliser.

Sigma 14-24 mm f2.8 avis
14 mm – 1/200 – f7.1 – ISO 100
plage focale grand angle
14 mm – 1/60 – f7.1 – ISO 100

Il ne fait pas de doute que c’est l’optique qu’on emmènera avec nous le jour où nous retournerons au lac Louise en Alberta. Avec lui, nous immortaliserons, enfin, toute la palette des émotions que nous a procuré ce lieu grandiose. D’autant plus qu’il nous sera tout aussi utile pour photographier les buildings des grandes villes d’Amérique du Nord.

Le compagnon des photos d’architecture et citadines

Car si l’ultra grand angle est utile pour capturer l’immensité d’un paysage naturel, il s’avère aussi indispensable dans de nombreuses villes. Quand le recul vient à manquer, n’avez vous jamais eu envie d’avoir un champ plus large dans votre viseur ? Nous si ! Je me revois encore devant l’Abbaye de Westminster à reculer au maximum avec mon zoom à 24 mm pour photographier cette immense bâtisse. Je me suis retrouvée contrainte de photographier en orientation portrait pour pallier au manque de recul.

N’ayez plus peur du manque de recul

Ainsi, avec sa plage focale qui descend jusqu’à 14 mm, voilà un objectif taillé pour la ville. Dans les ruelles étroites, face à un bâtiment exceptionnel, à 24 mm, on a souvent tendance à (pester) être bloqué. Bien sûr, on peut parfois se déplacer pour trouver un meilleur angle. Mais la disposition des lieux ou le flots des touristes ne le permettent pas toujours. C’est pourquoi le zoom ultra grand angle nous accompagne aussi dans nos voyages citadins. Et avec toutes les vieilles villes étroites d’Europe et les hauts buildings d’Amérique du Nord, il y a de quoi faire avec ce genre d’optique.

test distorsion Sigma 14-24 mm f2.8 monture L
14 mm – 1/60 – f11 – ISO 160

L’ultra grand angle en architecture va permettre d’accentuer la grandeur d’un bâtiment ou d’une place. Bien que ce type de zoom permette de tout montrer, je trouve qu’il est en lui-même un excellent moyen de montrer quelque chose : à savoir l’immensité. Et là encore, avec ce Sigma, précisément, les clichés sortent du lot par leur netteté. Sur les chalets imposants et luxueux de Courchevel, sur chaque photo, on peut voir le détail de l’usure du bois, les différences de couleurs de ce matériel si noble ou encore la texture propre à chaque pierre. Sans vilain jeu de mots, c’est du grand Art ! Il se dégage un « je ne sais quoi » des images qu’on sort avec cette optique qui me touchent en plein coeur.

photo architecture ultra grand angle monture L
22 mm – 1/100 – f11 – ISO 100

Un outil indispensable pour la photo immobilière

Toujours grâce à sa plage focale, cet objectif nous sert également pour photographier les chambres d’hôtel en voyage. Là encore, à 24 mm, pour des photographies immobilière, on manque souvent de recul.

Que ce soit pour des clichés de chambres d’hôtel ou pour des photos de maisons et d’appartements, avec un zoom démarrant à 14 mm, on a l’objectif idéal pour de la photographie immobilière. Avec lui, fini de se tordre en vain pour capter une pièce en entière. C’est fini aussi de donner une impression exiguë à une chambre, une cuisine ou encore une salle de bain. Et une vaste pièce n’en semblera que plus grande. Voilà pourquoi quand on veut mettre en avant un logement, cet ultra grand angle est obligatoire. D’autant plus que ce Sigma a des qualités optiques et une ouverture de f2.8 particulièrement intéressante pour la basse lumière, comme c’est souvent nécessaire en intérieur.

quelle pratique photo avec un ultra grand angle
14 mm – 1/13 – f2.8 – ISO 1000

Idéal pour les photos en faible luminosité

Au delà de sa plage focale, cet objectif présente l’intérêt d’avoir une ouverture constante de f2.8. C’est ce qui explique en partie le prix mais aussi les qualités optiques de ce modèle.

Grâce à son ouverture de f2.8, il est d’autant plus intéressant en basse lumière. Ainsi, en intérieur, vous n’êtes pas obligés de faire une pose longue pour photographier des lieux sombres. Pour des sujets en mouvement, voilà également une optique qui permet d’utiliser des vitesses plus élevées. D’ailleurs, pour de l’astrophotographie, il y a de grande chance qu’elle soit également dans votre sac !

Sigma 14-24 mm f2.8 et basse lumière
14 mm – 1/13 – f2.8 – ISO 1000

Un joli bokeh avec son ouverture de f2.8

Cette ouverture de f2.8, je m’en suis aussi beaucoup servie pour prendre des photos avec un joli flou d’arrière plan. Si cet objectif n’est pas vraiment une optique pour faire du portrait, j’ai profité de nos randonnées estivales pour immortaliser de jolies fleurs des montagnes.

Car avec sa distance minimale de mise au point de 28 cm, il permet de s’approcher assez près de son sujet. Ainsi, lorsque j’avais ce seul objectif autour du cou, j’ai profité de cette distance minimale de mise au point pour photographier la flore alpine ! Or, avec son ouverture de f2.8, on obtient un beau bokeh comme je les aime. Moi qui affectionne les plans serrés, le zoom s’arrêtant à 24 mm ne m’a donc pas bloqué à chaque fois que j’ai pu m’approcher du bord du chemin.

test bokeh Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art
24 mm – 1/640 – f2.8 – ISO 100
avis flou arrière plan Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art
23 mm – 1/320 – f2.8 – ISO 100

Moi, qui de base, ne suis pas fan des zoom ultra grand angle, j’ai beaucoup d’affection pour cet objectif. Si je connaissais déjà l’utilité de ce type de plage focale, j’ai apprécié pleinement le résultat des photos obtenues avec. Netteté, détails, les paysages déjà magnifiques sont parfaitement immortalisés. D’ailleurs, on s’est fait un plaisir de les agrandir au format A3 et le rendu est à la hauteur de l’image numérique. Il ne me manque plus qu’une chose : partir à nouveau en randonnée avec !

Que vaut le Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art en vidéo ?

En randonnée, vu les qualités d’enregistrement vidéo de notre Lumix S1, on a évidemment filmé ! On a principalement tourné en 4K 60 images par seconde pour une qualité optimale.

Avec lui on a filmé des paysages grandioses dans toute leur splendeur. Mais surtout, entre sa plage focale très large et l’enregistrement 4K, on est en complète immersion dans la scène qui se joue devant nous. Et comme en photo, on a une image détaillée. Sous nos yeux, la texture de la roche comme les dégradés de couleurs sont d’autant plus visibles. En photo comme en vidéo, on immortalise des paysages avec beauté.

Voici un cours extrait de vidéos tournées avec

Pas de stabilisation optique

En vidéo, on pourrait, néanmoins, lui faire un reproche. Cet objectif n’est pas doté de la stabilisation optique. De ce fait, il faut de préférence avoir un boitier avec stabilisation capteur. C’est le cas de nos Lumix S. Aussi, d’autant plus que ce Sigma a une plage focale courte, l’absence de stabilisation optique n’a pas été un frein à notre pratique en vidéo y compris en 4K 60 images par seconde avec un crop de 1,5 qui fait du 24 mm un 36 mm.

Il a donc de quoi convaincre les photographes comme les vidéastes. Plus particulièrement ceux qui recherchent un objectif capable de filmer des paysages dans leur immensité. Egalement, il vous conviendra si vous recherchez un ultra grand angle pour de l‘architecture et de l’urbain. De même, pour des annonces immobilière, c’est un indispensable. Et avec son ouverture de f2.8, il accompagnera les amateurs de basse lumière, d’astrophotographie ou de joli bokeh. Le tout avec une qualité d’image supérieure, digne d’un objectif haut de gamme !

Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art prix
15 mm – 1/100 – f13 – ISO 100

Prix du Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art

Côté tarif, il se vend au prix de 1399€. En monture L, il est disponible sur Fnac.com et Digit-Photo. Il existe également en monture E (Sony) et est disponible sur Amazon, Fnac.com et Digit-Photo. Si ce tarif peut paraître élevé, il est, en réalité, un excellent rapport qualité/prix. En effet, pour un même niveau d’ouverture, il faut compter minimum 2590€ pour le Sony FE 16-35 mm f2.8 et là, je cite le moins cher.

En conclusion

Voilà un objectif avec une qualité de construction tout aussi qualitative que les images que l’on obtient avec. C’est un vrai bonheur de partir en randonnée photo avec.

Détail de l’image, netteté, joli bokeh, il n’y a aucune limite à l’imagination ! Chaque soir, après nos randos, le superbe rendu des photos prises, nous a motivé à recommencer l’aventure le lendemain. Et ce, même avec deux sacs chargés et un jeune enfant ! Au delà de la beauté des souvenirs, c’est aussi cet objectif qui nous a convaincu de la grande qualité de la gamme Art. Ce qui nous a motivé à acquérir le 85 mm f1.4 DG DN Art pour notre plus grand bonheur.

test indépendant Sigma 14-24 mm f2.8 DG DN Art L Mount
14 mm – 1/250 – f11 – ISO 100

Face à ses concurrents ?

En monture L, pour un tarif un peu plus élevé, on peut acquérir le Lumix S 16-35 mm f4. Il est plus cher et a une ouverture moins bonne. En contre-partie, il a une plage focale plus polyvalente car il permet d’aller jusqu’à 35 mm. (Mais il débute à 16 mm et non 14 mm). Et on peut y fixer un filtre protecteur à l’avant de la lentille. L’intérêt de cette optique c’est surtout son poids car il pèse seulement 500 grammes. Son gabarit est plus réduit, il offre plus de discrétion. Disons que c’est le genre d’optique que j’aime plutôt avoir dans un contexte citadin. Alors que le Sigma 14-24 mm f2.8 a ma préférence en pleine nature. Et puis, il a un je ne sais quoi que les autres n’ont pas.

Sur la monture FE, il existe plusieurs objectifs ultra grand angle mais le tarif est plus élevé. Comme chez Panasonic, seul existe un Sony FE 16-35 mm f4 avec un prix similaire mais pas la même ouverture. Après, le tarif est bien plus élevé avec un Sony FE 12-24 mm f4 à 2590€ et un Sony FE 12-24 mm f2.8 à 3290€.

Ainsi, en monture L comme en monture FE, ce Sigma est sûrement le meilleur rapport qualité/prix.

Les photos du boitier ont été prises avec un Lumix G9 + GX Vario 12-35 mm f2.8.

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